Caius Andreï
| Sujet: (annexe) "protectrices" simplifiée. Dim 29 Juil - 11:55 | |
| Histoire :
Les protectrices étaient autrefois les gardiennes d’Excelsior. Elles ont été touchées par la magie, ayant ainsi la possibilité de contrôler les éléments afin de protéger l’île contre les invasions. Cependant, certains colons ont été bien plus violents que d’autres et ont réussis à exterminer ce peuple qu’ils jugeaient comme « dangereux », non sans faire quelques prisonnières afin de les étudier. Malgré ça, une protectrice, la plus puissante de toute, réussi à leur échapper et ne se laissa jamais retrouvée. En dépit de la détresse d’avoir perdue son peuple, elle réussit à se soustraire à leur surveillance, se cachant, utilisant ses dons pour rester en dehors de leurs radars affûtés. Elle se fit oubliée, pensant qu’elle était morte quelque part dans la forêt, mais pendant ce temps, elle donna son corps, se sacrifiant afin d’enfanter, créant ainsi des générations futures de protectrices qui un jour, à leur tour, pourront se rebeller et rendre à Excelsior sa beauté d’antan.
Elle est morte, à l’âge de quatre-vingt quatre ans, laissant derrière elle une descendance cachée, faisant promettre de garder ce secret enfoui, invisible aux familles fondatrices, dans le but d’un jour pouvoir se soulever et réduire à néant la cruauté de la Cité Solitaire.
Pouvoirs :
Les protectrices ont le pouvoir de contrôler les éléments. Cependant, certaines sont plus douées que d’autres, mais presque toutes possèdent un élément de prédilection. En réalité, qu’importe la portée de leurs pouvoirs, les descendantes restent tout de même très soudées et s’entraînent ensembles, à la rose blanche, afin de développer leurs capacités. Leur union fait la force et c’est pour cette raison qu’a été mis en place par Lucien, dans une pièce spéciale à la rose blanche, un plan de l’île permettant de repérer les protectrices encore ignorantes de leur don, afin de les rallier à la cause de la clé noire et de leur faire prendre conscience de l’étendue de leurs facultés. |
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